Eloy Vanara

 

   

   

❯ FEAT : Henry Cavill

Carte d'Identité    Le sujet Eloy Vanara est un Humain de type Masculin qui est circulation depuis 38 ans.  C'est plutôt quelqu'un de manipulateur, cruel, violent, intelligent et pervers mais aussi ambitieux, froid, sournois, malsain et enfin tordu.    ☩ RACE : Humain    ☩ TRAVAIL/OCCUPATION : Interrogateur. Ordure à plein temps. Salopard de première zone.    ☩ SIGNES PARTICULIER : Suit toujours sa proie des yeux    ☩ ALIGNEMENT : Loyal Mauvais    ☩ PLANÈTE D'ORIGNE : Coruscante    ☩ ALLÉGEANCE : Empire    ☩ CLASSE SOCIALE : Indécemment Riche    ☩ ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel    ☩ SITUATION : Célibataire    ☩ PLUS GRANDE PEUR : Que son combat s'avère un jour vain, et qu'il retombe en poussière, comme toute étoile qui a brûlé un peu trop vite.    ☩ AMBITION(S) POUR L'AVENIR : Grimper dans la hiérarchie, acquérir davantage de pouvoir, et contrôler tout son petit monde d'une main de fer.    ☩ VOTRE INVENTAIRE DE BASE : L'odeur de son dernier amant.       DERRIÈRE L'ECRAN     Mon pseudo est Hydros et j'ai 25. Je fais un certain nombre de lignes variant de 10 à l'infini (et au-delà !), et j'ai découvert le forum grâce à Sujay (sur lequel je me vengerai avec toute l'horreur dont je suis capable). Ma fréquence de connexion sera d'à peu près 3/7 et mon mot pour la fin sera ou ne sera pas !.

   

TON HISTOIRE

   Le mot de dynastie n'avait de sens que s'il incluait un leader capable de la mener à sa gloire.
Et d'un point de vue purement Vanarien, le père d'Eloy n'aurait jamais pu être ce leader tant attendu. Pas plus qu'il n'aurait pu éclairer le nom des Vanara et en faire un nom respecté.
L'homme avait été faible et trop peu ambitieux pour accomplir ce qui devait être fait. Un peu de sang sur les mains l'avait effrayé, un peu plus l'aurait fait fuir. Il avait rechigné à faire le sale boulot, s'était évertué à garder une ligne de morale stricte... S'enfonçant dans un bourbier dont il ne s'était jamais extrait, et oubliant totalement ses fils derrière lui en faisant cela.
Libéré de toute contrainte, sa propre mère le craignant et l'évitant, l'aîné des Vanara avait grandi dans l'idée qu'il était un fier rejeton de la République et n'avait d'ordres à recevoir de personne. L'idée que sur cette planète, il était supérieur à toute autre forme de vie et qu'il valait mieux qu'eux tous. Ce ne fut pas son père qui lui inculqua cela, mais son parcours de vie fut jonché d'avatars de l'ambition en tout genre : professeurs, amis, connaissances, modèles... S'il voulait un jour rejoindre leurs rangs et se placer fièrement à leurs côtés, il ne devait reculer devant aucun obstacle : qu'il s'agisse de sa propre famille ou de boulets supplémentaires dont il pourrait s'enticher.

Savamment, il détruisit tout ce qui pourrait lui poser problème un jour.
Tel Oedipe rêvant du trône, il massacra son père en l'accusant de trahison envers l'Empire quand ce dernier fut mis en place.
Sa mère eut la bonté de mourir toute seule et il n'eut pas à s'en charger. Quant à ses frères, qui pourraient un jour s'avérer utiles, il les conserva précieusement mais leur inculqua très jeunes la peur et le sentiment de ne jamais être en sécurité, sinon avec lui. Du moins à Ceres, qui vécu toute son enfance avec lui : Sujay n'arriva que plus tardivement dans leur famille. Il s'amusa particulièrement avec Ceres, persuadé que s'il arrivait à le briser, ce dernier n'oserait jamais se rebeller contre lui.
Combien de fois se glissa-t-il dans son lit pour le seul plaisir de lui arracher des gémissements de douleur et de plaisir, et d'approfondir son emprise sur lui ?
Combien de fois surveilla-t-il attentivement Sujay après leurs retrouvailles, allant jusqu'à engager des espions pour s'assurer de sa fiabilité ? Au moindre faux pas, il l'éliminera sans état d'âme, car un Vanara défaillant est un Vanara mort.

Qui oserait lui dire quoi que ce soit, de toute façon ?
Actuellement interrogateur pour l'Empire, il a commencé à se forger une petite réputation de fervent soutien du gouvernement en place : on le sait fidèle, loyal et incorruptible. Ses supérieurs ne tarissent pas d'éloges à son propos et on reconnaît son efficacité dès qu'il s'agit d'interroger un prisonnier.

D'ailleurs, rien ne vaut ces moments d'extase où, ses doigts décrivant des cercles dans le sang de sa victime, il aspire ses confessions dans un râle de douleur intense. Ces instants subliminaux où il devient le maître incontesté d'un corps et d'une âme qui ne sauraient lui échapper, et qui doivent subir sa tyrannie. Sadique et pervers, il use et abuse.
Et quoi que ses victimes lui avouent... il sait qu'il s'agit de la vérité, car aucune âme ne peut être brisée, aucune âme ne peut être souillée.